York Chocolate

Caractéristiques physiques

Le chocolat York est un grand chat avec des muscles fermes et des os solides. Structure similaire à son ascendant, le Siamois (le Siamois à l’ancienne, c’est-à-dire), mais avec une voiture plus large et plus lourde. C’est un chat de ferme dans presque tous les sens: robuste, vigoureux, fort et grand. Le chat mâle pèse généralement de 14 à 16 livres, les femelles sont un peu moins à 10 à 12 livres.

Comme son nom l’indique, cette race est sélectionnée pour sa coloration, qui est du brun chocolat, de la lavande ou une combinaison des deux. Le manteau sera généralement de couleur plus claire tandis que le York est un chaton, mais se transformera en un manteau riche en chocolat soyeux et au chocolat avec maturité. Et c’est ce qui sépare le York du chat de la ferme traditionnel: le York a un manteau brillant et semi-long, avec un léger, doux, doux à la radiculne qui résiste aux tapis. Le manteau est doux et séjourne près du corps, plus épais au niveau du chauffage (cou et poitrine) et sur les jambes supérieures. La queue est pleine et gonflée, avec une apparence comme un plumeau de laine d’agneau. Les pieds sont légèrement touffés entre les orteils, et il y a des plumes légères dans les oreilles. Les yeux sont en forme d’amande et peuvent être de couleur verte, dorée ou noisette. Cette race est active et brillante.

Personnalité et tempérament

Le chocolat York est un chat affectueux et fidèle qui se lie bien avec ses humains. Il est indépendant et fait assez bien en soi, mais il faut une grande joie d’être avec les gens, d’être câlins ou de caresses, et de participer à des activités ménagers. Le York aime l’attention, et même lorsque vous êtes inattentif, il vous prodigera de la sienne, “aidant” avec tout ce que vous faites, que vous soyez sur votre ordinateur, que vous nettoyiez la maison ou lisez tranquillement. Ils montrent leur joie en votre présence à votre arrivée à la maison, vous saluent à la porte avec un ronronnement amical. Ils sont surtout connus pour leurs petits ronronnements de moteur, en utilisant généralement un ronronnement à la place d’un miw pour vous parler.

En tant que race qui a été élevée et élevée dans les fermes, le York s’entend bien avec d’autres animaux et enfants, et maintient une bonne disposition. Le York est le plus heureux lorsque vous passez du temps à jouer avec lui, plutôt que de le laisser faire un ballon seul. À la hauteur de sa description de travail principale en tant que chat de ferme, il s’est avéré un chasseur capable. Il est rapide et sûr, et fait un excellent contrôle des rongeurs. Il aime la poursuite et la chasse. Pour les habitants de banlieue manquant de proies en direct, le York peut trouver le contentement en jouant avec des jouets en mouvement ou avec un jeu interactif. Les objets liés à un bâton et ont rebondi pour l’amusement de votre chat est une façon de s’assurer que ses besoins de chasse et de capture sont satisfaits.

Histoire et arrière-plan

La Ligne de chocolat York a commencé en 1983, dans une ferme laitière de chèvre, avec le jumelage propice d’une reine de ferme tachetée en noir et blanc nommé Blacky, et son paramour local, Smokey. L’une des descendants, une femme enrobée de chocolat douce-amère, bien nommée Brownie, a attiré l’attention du propriétaire de la ferme, Janet Chiefari. Brownie avait un look et un charme, et l’été suivant, elle avait sa propre portée de chatons, dont l’un comprenait un mâle semi-chanté avec un manteau noir et un sous-couche de brun profond. Un an plus tard, elle s’est accouplée avec sa progéniture, depuis nommée Minky, et ensemble, ils ont produit un ours en peluche, un mâle brun massif, et du cacao, une femelle brune et blanche.

À ce jour, Chiefari était tombé amoureux de sa nouvelle race, de leur tempérament et de leur intelligence, et pour leurs manteaux brillants, doux et richement teintés. Elle a consacré son temps à apprendre tout ce qu’elle pouvait sur l’élevage et a transformé son porche en une chatte de fortune. À l’été 1989, elle avait 27 chatons brun chocolat supplémentaires (aucun mot sur le nombre de noms de brun chocolat qu’elle a pu donner à tous ses chats avant de s’épuiser).

Avec son nouvel enthousiasme pour l’élevage de chats et la fierté de sa nouvelle ligne, Chiefari a commencé à diffuser des nouvelles de ses merveilleux chats. En juillet 1989, le vétérinaire de Chiefari l’a présentée à un juge de la Fanciers de Cat Fanciers (CFF). Nancy Belser, juge et collègue éleveur de chats, a fait une visite à la ferme de Chiefari pour inspecter sa nouvelle ligne et a convenu que les chats étaient uniques et spéciaux. Belser a encouragé Chiefari avec une invitation à montrer son meilleur chat lors d’un spectacle de la CFF, et Chiefari a fait exactement cela. En septembre 1989, Chiereari a enregistré l’un de ses chats dans la catégorie des animaux domestiques, un Tom de six mois nommé Prince. Heureusement pour Chiefari, Prince a reçu un trophée de la première place CFF et a remporté quatre prix de rosette supplémentaires.

Son enthousiasme renforcé par la reconnaissance, Chiefari a avancé, donnant à sa nouvelle race un nom, qu’elle basé sur la riche couleur brune de ses chats combinée au nom de son état d’origine, New York – par conséquent: Chocolate York. Elle a postulé en tant que nouvelle race avec les registres des chats et, en 1990, la CFF et l’American Cat Fanciers Association ont accepté sa ligne de chat comme race expérimentale. En seulement deux ans, son York Chocolate a obtenu le statut de championnat par le CCF, et en 1995, l’Association canadienne des caths a également accordé le statut de championnat au York.

Pendant cette période, et avec l’aide des registres, Chiefari a écrit la norme pour le York Chocolate. Actuellement, la race York est toujours en cours de conformation standard, en utilisant des chats domestiques et non pédigrés pour l’élevage croisé, et en choisissant de manière sélective pour les traits souhaités, tout en préservant la combinaison unique de la vigueur agricole de York par York, un tempérament sucré et une élégance. Le nombre d’éleveurs est limité et l’acceptation plus large de la race dans les registres des chats est recherchée.